Mais devant la distance du trajet qui nous attend, fini les moyens de transports archaïques de Grand Papa ! On ne transige pas avec la Patagonie, les Andes, la Bolivie et le Brésil (pourtant un programme light). Mais les enfants, il faut ce qu'il faut et à nous les grands moyens.
Nous avons alors envisagé l'achat d'un VW Combi pour tailler la route. Cependant, il nous a semblé que peut etre le cliché serait trop encombrant. A moins que ce ne soient les paperasses d'assuranc et d'immatriculation en tant qu'étranger sans adresse fixe en Argentine...
Eh bien puisqu'il le faut, ne lésinons pas ! A nous la vitesse, le frisson du risque et de l'inconnu, à nous les grosses cylindrées ! A nous la vitesse et la modernité ! Ceci devrait nous permettre d'atteindre rapidement et sans retard, une destination précise.
Nous avons alors envisagé l'achat d'un VW Combi pour tailler la route. Cependant, il nous a semblé que peut etre le cliché serait trop encombrant. A moins que ce ne soient les paperasses d'assuranc et d'immatriculation en tant qu'étranger sans adresse fixe en Argentine...
Eh bien puisqu'il le faut, ne lésinons pas ! A nous la vitesse, le frisson du risque et de l'inconnu, à nous les grosses cylindrées ! A nous la vitesse et la modernité ! Ceci devrait nous permettre d'atteindre rapidement et sans retard, une destination précise.
Et apres qq heures de bus qui nous permettent de sortir un peu de Bs As, c'est "El insuportable Lucas" (surnom donné par ses parents) qui nous offre le premeir goût des grandes distances argentines en camion. Et par la fenêtre, pendant que nous parcourons les 1000 bornes qui nous séparent de Puerto Madryn, le soleil a décidé de se coucher.
Grâce à la vélocité du camion qui frôle les 60km/h en montée par vent contraire et surtout à l'acharnement du conducteur, nous arrivons sur la plage de Puerto Madryn le 24 dec. au matin pour vous offrir ces rares clichés.
Un essai pour la couverture du catalogue du club med.
Toujours dans un souci de cocniliation avec les autochtones, je tends amicalement la main à un pingouin pour sceller l'amitiée entre nos deux peuples. Hélas, les siècles de cohabitation avec les vigognes lui ont appris à se méfier des grands mammifères poilus. Mais je ne perds pas courage, ce voyage doit être l'occasion de renseigner le monde occidental des espèces rares qui peuplent le lointain Sud. Que ses espèces soient mouvantes...
Ou complètement apathiques.
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